Est-il raisonnable ou déraisonnable de prendre le temps du débat en période d'urgence climatique ? Présentation des éclairages que nous avons réunis pour ce dossier.
LE DOSSIER
Climat : faut-il encore débattre de la transition ?
TOUS LES ARTICLES
La première commission mixte délibérative s’est tenue en 2024 au Parlement wallon, en Belgique. Durant cinq journées, 10 député·es et 30 citoyen·nes tiré·es au sort ont délibéré pour produire des...
A partir de l’exemple de l’eau, Herlvé Defalvar indique des liens et apport respectifs entre communs et participation citoyenne. Reliant intérêt commun, intérêt collectif et intérêt général, il indique la voie d’une démocratie du faire commun.
Retrouver sur Youtube l’enregistrement de la Table ronde « Quels leviers pour démocratiser l’entreprise ?» pour prolonger le dossier paru dans démocratieS. Merci à Thomas Coutrot, statisticien et économiste, Guillaume Gourgues, chercheur en science politique, membre du...
L’entreprise n’est pas, aujourd’hui, l’espace prioritaire de l’engagement. Travail et démocratie sont-ils compatibles et jusqu’où ? Présentation par Guillaume Gourgues.
L'économiste et statisticien Thomas Coutrot plaide pour un droit d'expression directe des salariés leur permettant de peser sur l'organisation du travail.
L'entreprise doit changer par le haut, estime la sociologue Isabelle Ferreras, en proposant d'instaurer une chambre des travailleurs au même niveau de pouvoir que le conseil d'administration.
Pour l'entrepreneur Guillaume Denoës, la qualité de société à mission est le cadre minimum qu'il faudrait généraliser à toutes les entreprises.
A défaut de démocratisation, les grandes entreprises expérimentent des consultations élargies, y compris sur des sujets stratégiques. Un début, selon le praticien Frank Escoubès.
La démocratisation de l’activité ne s'improvise pas. La consultante Jeanne Cartillier et le chercheur Corentin Gombert pointent des pratiques fiables.
Selon Noëlle Bernard, médecin, mettre en cohérence ses convictions personnelles et ses pratiques professionnelles redonne du sens au travail.
Pour Céline Marty, philosophe du travail, le travail salarié est trop prenant et aliénant pour libérer du temps et de l'énergie et s'engager en tant que citoyenne ou citoyen.
Si on instaurait un véritable statut du participant ? C’est ce que propose Dorian Dreuil, membre de la Fondation Jean-Jaurès.
Une cartographie des compétences acquises par les participants a été réalisée lors de la convention citoyenne sur la fin de vie. En attendant une validation des acquis, espère Matthieu Sanchez, citoyen impliqué.
Pour le fondateur de la Fabrique des Transitions, Jean-François Caron, le changement se joue dans une coopération entre élus, habitants et acteurs locaux : une "démocratie du faire" à privilégier dans les territoires.
Aujourd'hui fortement menacée, la dynamique participative a doté l'Inde de dispositifs novateurs capables de mobiliser les plus déshérités.
Dernières parutions
La première commission mixte délibérative s’est tenue en 2024 au Parlement wallon,...
A partir de l’exemple de l’eau, Herlvé Defalvar indique des liens et apport respectifs entre communs et participation citoyenne. Reliant intérêt commun, intérêt collectif et intérêt général, il indique la voie d’une démocratie du faire commun.
Retrouver sur Youtube l’enregistrement de la Table ronde « Quels leviers pour démocratiser...
L’entreprise n’est pas, aujourd’hui, l’espace prioritaire de l’engagement. Travail et démocratie sont-ils compatibles et jusqu’où ? Présentation par Guillaume Gourgues.
L'économiste et statisticien Thomas Coutrot plaide pour un droit d'expression directe des salariés leur permettant de peser sur l'organisation du travail.
L'entreprise doit changer par le haut, estime la sociologue Isabelle Ferreras, en proposant d'instaurer une chambre des travailleurs au même niveau de pouvoir que le conseil d'administration.
Pour l'entrepreneur Guillaume Denoës, la qualité de société à mission est le cadre minimum qu'il faudrait généraliser à toutes les entreprises.
A défaut de démocratisation, les grandes entreprises expérimentent des consultations élargies, y compris sur des sujets stratégiques. Un début, selon le praticien Frank Escoubès.
La démocratisation de l’activité ne s'improvise pas. La consultante Jeanne Cartillier et le chercheur Corentin Gombert pointent des pratiques fiables.
Selon Noëlle Bernard, médecin, mettre en cohérence ses convictions personnelles et ses pratiques professionnelles redonne du sens au travail.
Pour Céline Marty, philosophe du travail, le travail salarié est trop prenant et aliénant pour libérer du temps et de l'énergie et s'engager en tant que citoyenne ou citoyen.
Si on instaurait un véritable statut du participant ? C’est ce que propose Dorian Dreuil, membre de la Fondation Jean-Jaurès.
Une cartographie des compétences acquises par les participants a été réalisée lors de la convention citoyenne sur la fin de vie. En attendant une validation des acquis, espère Matthieu Sanchez, citoyen impliqué.
Pour le fondateur de la Fabrique des Transitions, Jean-François Caron, le changement se joue dans une coopération entre élus, habitants et acteurs locaux : une "démocratie du faire" à privilégier dans les territoires.
Aujourd'hui fortement menacée, la dynamique participative a doté l'Inde de dispositifs novateurs capables de mobiliser les plus déshérités.
Pour Nicolas Bricas, renforcer le poids des consommateurs face aux entreprises agro-alimentaires pourrait passer par une action volontariste des collectivités territoriales.
Dernières parutions
La première commission mixte délibérative s’est tenue en 2024 au Parlement wallon,...
A partir de l’exemple de l’eau, Herlvé Defalvar indique des liens et apport respectifs entre communs et participation citoyenne. Reliant intérêt commun, intérêt collectif et intérêt général, il indique la voie d’une démocratie du faire commun.
Retrouver sur Youtube l’enregistrement de la Table ronde « Quels leviers pour démocratiser...
L’entreprise n’est pas, aujourd’hui, l’espace prioritaire de l’engagement. Travail et démocratie sont-ils compatibles et jusqu’où ? Présentation par Guillaume Gourgues.
L'économiste et statisticien Thomas Coutrot plaide pour un droit d'expression directe des salariés leur permettant de peser sur l'organisation du travail.
L'entreprise doit changer par le haut, estime la sociologue Isabelle Ferreras, en proposant d'instaurer une chambre des travailleurs au même niveau de pouvoir que le conseil d'administration.
Pour l'entrepreneur Guillaume Denoës, la qualité de société à mission est le cadre minimum qu'il faudrait généraliser à toutes les entreprises.
A défaut de démocratisation, les grandes entreprises expérimentent des consultations élargies, y compris sur des sujets stratégiques. Un début, selon le praticien Frank Escoubès.
La démocratisation de l’activité ne s'improvise pas. La consultante Jeanne Cartillier et le chercheur Corentin Gombert pointent des pratiques fiables.
Selon Noëlle Bernard, médecin, mettre en cohérence ses convictions personnelles et ses pratiques professionnelles redonne du sens au travail.
Pour Céline Marty, philosophe du travail, le travail salarié est trop prenant et aliénant pour libérer du temps et de l'énergie et s'engager en tant que citoyenne ou citoyen.
Si on instaurait un véritable statut du participant ? C’est ce que propose Dorian Dreuil, membre de la Fondation Jean-Jaurès.